FAQ
Q. Vous êtes conseiller stratégique. Pour quels types de mandats devrait-on faire affaire avec vous?
R. Par exemple : accroissement des profits, fusion-acquisition, restructuration… En réalité, lorsqu’il ne sait plus comment atteindre ses objectifs, un entrepreneur, homme ou femme d’affaires, ne sait pas de quoi son entreprise a réellement besoin. Mon mandat est de lui permettre de continuer à avancer dans la direction qu’il souhaite.
Q. Moteur d’ambitions. Pourquoi vous définir ainsi?
R. Lorsque je rencontre un entrepreneur client, je débute toujours en lui demandant quelles sont ses ambitions. Un homme ou une femme d’affaires a toujours des objectifs, des raisons qui l’ont amené à prendre des risques, à devenir décideur. Notre relation se transforme en moteur qui va propulser l’organisation et lui faire atteindre ses objectifs.
Q. La réussite résulte-t-elle de la collaboration entre les décideurs et vous?
R. Dans l’économie québécoise d’aujourd’hui, le capital humain représente l’élément fondamental de la réussite. Et, au premier titre, l’intelligence d’affaires des entrepreneurs, des décideurs. Mon rôle de conseiller stratégique entraîne une relation d’affaires dynamique, efficace, qui accompagne les décideurs dans leurs projets.
Q. Avez-vous un système d’intervention qui a fait ses preuves?
R. Oui. Diagnostic, plan d’action, gestion du changement, suivi. Le tout en mode coaching. La valeur que j’ajoute se situe essentiellement au niveau de l’accompagnement. Un coaching autant humain que cartésien, respectueux des valeurs de la personne, mais sans oublier que l’on m’appelle toujours pour modifier des façons de faire. Par ailleurs, je garde toujours en tête que je ne suis pas le décideur, que je ne suis pas le propriétaire de l’entreprise de mes clients. En travaillant avec moi, ce sont eux qui réussissent.
Q. Qui sont vos clients?
R. La plupart de mes clients sont des PME dans le domaine des services, de la distribution et des manufacturiers. Ils ont en commun l’envie de changer, de devenir plus performants. Souvent, ils identifient des opportunités mais ont besoin d’aide pour adapter leur organisation. Je les accompagne dans leur évolution. Vous pouvez lire quelques témoignages.
Q. Depuis quand êtes-vous conseiller stratégique?
R. Depuis plus de vingt ans, dans différentes organisations, notamment la Banque de développement du Canada. À titre de vice-président Est du Canada, j’étais responsable de la gestion stratégique et opérationnelle des activités au Québec et dans les provinces de l'Atlantique. Mon expertise dans le conseil stratégique auprès des PME s’y est considérablement enrichie. Auparavant, j’ai notamment été directeur général adjoint puis P.D.G. du Parc technologique du Québec métropolitain et Directeur général du G.A.T.I.Q. Technorégion.
Q. Pourquoi avoir lancé Gestion SC?
R. Pour maximiser l’efficacité de mes interventions en renforçant l’aspect humain de la relation d’affaires. Un bon conseil exige une excellente relation entre deux personnes. La confiance est primordiale. Agir comme consultant indépendant me permet de développer une confiance et des relations à long terme. Ainsi, les suivis se font naturellement et l’impact des conseils s’inscrit dans une continuité profitable.
Q. Quelles sont vos principales valeurs ajoutées?
R. Réveiller l’instinct entrepreneurial. Instaurer un climat de travail propice aux changements. Coacher en obtenant des résultats concrets